Dans l’assemblée, constitué par les villageois, des voix commencé à monter : « Il nous a retrouvé » « Qu’allons nous devenir » « pitié » « peut être que si on se prosterne devant lui, il nous graciera ».
Brandissant d’un coup son cladio vers le ciel, cet homme, si sombre et terrifiant, prit la parole : « Silence ». Immédiatement, un silence de mort se fit, encore plus intense que celui précédent sont arrivé. Tout le monde été sur ses gardes, la paume de la main sur le pommeau de leur rapière. Sur la lame était gravé de nouveau symbole dans sa longueur : « Dovietna techevoski ». Issu d’un ancien dialecte, ces mots signifiaient : « épée des morts ». La lame était longue de quatre-vingt centimètres et large de cinq et à double tranchant.
Il laissa s’écoulé deux minutes avant de reprendre la parole. Il commença d’une voie grave et forte pour que tous puisse l’entendre : « Pour ce qui ne m’ont pas reconnut, je suis celui que vous avez offensé il y a de cela plus de quinze longue, très longue années ». Il reprit d’une voie encore plus forte et menaçante : « Je suis celui contre qui vous avez prit les armes ! Celui qui vous a poursuivit depuis tout ce temps, celui qui vous avez nourrit et protégé pendant des années, celui que vous avez poignardé dans le dos ! ». Il attendit quelque seconde que c’est parole firent l’effet désirés. Reprenant D’une voie toujours plus rude : « Je suis Lord Lankou, prince et seigneur du grand royaume de breizh, plus communément appelé le royaume des trois morts ! » « Vous m’avez combattu moi, mais aussi mon idéologie en prenant les armes. Qu’avez-vous cru, que je vous laisserais vivre en paix sachant que chaque souffle de votre vie m’offense, que chacun de vos pas m’inflige mille tourments ? Je veux, et j’aurais vos têtes, à tous ! Mon dernier conseil sera celui-ci : Défendez vous et battez vous pour chaque parcelle de terrain car ceux-ci sont vos dernier instants sur cette terre. Je vous ai maudit donc jamais vous ne connaitrait le repos éternelle et errerai pour l’éternité dans le labyrinthe que sont nos enfers. Périssez pauvre fous. »
Tous les villageois furent apeurés par cette déclaration des plus alarmantes. Toutes fois seuls quelque uns furent suffisamment effrayés pour prendre leurs jambes à leur coup. Le seigneur de la mort rengainât son cladio, et reparti de la même manière dont il était venus, tout d’abord au pas, jusqu’à qu’il fut sorti du village, puis au galop en lançant une dernière phrase : « Ceci est votre dernier jour ».